ParkOtheK > ParkOfiches > Spyland > Dossiers > Un paradis pour agents secrets (Partie 2)  

  En avant-première, nous vous faisons découvrir les projets des futurs parcs français et étrangers. Du stade embryonnaire, à la réalisation finale probable : enquêtes sur les parcs de demain.
   

Spyland... un nom à la fois évocateur et mystérieux. Mystérieux comme les espions et autres agents secrets fictifs ou bien réels qui vont peupler ce futur parc d'attractions dans le Sud de la France, au Nord d'Aix-en-Provence (13). Pour la première fois, nous vous proposons de suivre l'élaboration et les tribulations d'un projet de grand parc à thèmes.

Pour commencer cette grande série d'articles, présentation générale du projet en 2 dossiers.

PARTIE 2
Innovations, et environnements.

NOTA BENE

Nous apprenons quelques mois après avoir publié cet article que le site d'implantation du projet n'est plus celui de la commune de Meyrargues. Suite à la contestation paysanne et aux embroglios politiques, l'équipe Spyland étudie son implantation ailleurs en France.

Le nouveau site d'implantation (Valence) est décrit dans cet article.

 

D'innovations en innovations.

Spyland se veut novateur dans de nombreux domaines : de la billetterie aux files d'attente, tout sera organisé pour vivre une expérience unique. Expérience unique qui se caractérisera d'abord par une visite à plusieurs niveaux, à plusieurs angles de destination. Tout d'abord sous un angle thématique "classique": le visiteur sera libre de circuler entre les attractions. Le deuxième type de visite, plus personnalisé, permettra au visiteur de participer à des recherches d'énigmes et à des jeux de rôle... Le visiteur recevra tout au long de sa visite des instructions pour réaliser des activités particulières (saut en parachute virtuel, traversée d'un marché flottant entre autres) et il devra échanger des informations que d'autres visiteurs auront laissé au sein du parc par le biais de boîte aux lettres mortes (les BLM en jargon d'agent secret). Des scores seront enregistrés pendant des activités interactives -traversée de labyrinthe laser, tir instinctif sur cible fictive, décodage de messages- sur une carte à puce développée spécifiquement pour Spyland.

Servant bien évidemment de pass à l'entrée du parc, cette carte comportera quelques informations utiles comme la nationalité du visiteur : la connaissance de ce détail permettra d'adapter la langue de certaines attractions ou expositions. Ainsi, le visiteur connaitra le temps d'attente exact à l'entrée des attractions ou bien sera averti d'une animation quelconque sur un panneau lumineux qui affichera le message dans sa langue. Le système de billetterie est également adapté à cette carte à puce : 5 €uros seront prélevés à l'entrée, puis entre 2 et 4 €uros pour les grandes animations seront débités sous forme de points. 25 €uros seront dépensés en moyenne par jour et par visiteur.

La télédétection de cette carte est également une des nouvelles technologies que Spyland développe actuellement ; elle permettra de gérer en temps réel les flux de visiteurs, de les orienter vers une zone moins dense en déclenchant un spectacle de rue par exemple. Le visiteur, s'il le souhaite, pourra insérer une certaine somme d'argent sur sa carte, et l'utiliser comme "carte de crédit" dans chaque boutique ou restaurant : il s'agit, entre autres, d'une solution économique pour tous les parents qui souhaitent laisser libre les enfants dans leurs achats... ou bien pour les adultes consommateurs frénétiques ! Ce mode de billetterie est donc un moyen de suivre les tendances et les habitudes des visiteurs, donc d'exercer un marketing direct en fonction des intérêts de chacun.

Enfin, cette carte sera une véritable petite carte d'agent secret : en entrant dans le parc, le visiteur fera partie du "Club Spyland" (il pourra même insérer sa photo sur la carte) et bénéficiera de points promotionnels visant à promouvoir les produits Spyland, et sera un moyen de fidélisation de la clientèle en lui offrant, par exemple, quelques points "Attractions" à la sortie du parc. "Bien entendu il n'est pas question de constituer des fichiers si les personnes ne le souhaitent pas. Ce sont les jeux marketing qui permettront à ceux qui le veulent de compléter les champs disponibles sur la carte." nous rappelle Anne Grouvel, attachée de presse du projet.

Si ce concept de billetterie fonctionne à long terme, le produit "Carte à Puce" pourrait bien trouver des débouchés dans d'autres parcs.


Pourquoi le Sud ?

"Au départ, les Anglais auraient aimé voir le concept Spyland s'implanter chez eux : l'Angleterre est bien évidemment la patrie de James Bond, icône emblématique des agents secrets. Mais le créateur de Spyland a souhaité que le projet soit français jusqu'à sa terre d'accueil." nous confie Didier Rancher, responsable du projet.

Spyland s'inscrit dans la continuité des autres projets qui ont étudié une implantation dans la région Provence-Alpe-Côte-d'Azur comme EuroDisneyland et Port Aventura. Dans un premier temps, en choisissant une implantation régionale dans le Sud-Est de la France, le projet bénéficie d'un facteur météorologique évidemment favorable (300 jours de beau temps par an) permettant de minimiser la baisse de fréquentation que les autres parcs connaissent, baisse pouvant atteindre 30% les jours de pluie.

L'ambition de Spyland est de devenir à terme une destination touristique et culturelle internationale. Aix est un carrefour entre le Vaucluse et le Var, et le site retenu de 100 hectares est placé à proximité de plusieurs sorties d'autoroute dont l'A51 qui constituera bientôt l'axe Marseille-Grenoble-Suisse, à proximité également de la gare TGV d'Aix-en-Provence, à 20 minutes de l'aéroport de Marignane, et à 25 minutes des nouveaux sites portuaires de Marseille, ouverts dès 2005 aux croisiéristes que Spyland souhaite également attirer. Le projet se situera dans un bassin de population de 7 millions d'habitants, et d'environ 35.8 millions de touristes par an en progression.

La fréquentation du parc a été projetée à partir d'études combinant des méthodes analytiques et analogiques pour arriver à une moyenne de 900 000 visiteurs par an après quatre années d'exploitation et de mise en place de la notoriété du parc.

Année
2005
2006
2007
2008
Nombre de visiteurs.
250 000
520 000
710 000
900 000
Répartion de la fréquentation sur 4 années.
(Chiffres non réactualisés depuis le changement de site)

Spyland pourra être perçu comme une destination à part entière sur 2 ou 3 jours, ou comme l'amorce d'un séjour en Provence-Alpes-Côte d'Azur. Le Var, les Bouches-du-Rhône, le Vaucluse, et les Alpes de Haute Provence recèlent une riche variétés de sites, monuments, musées et activités de plein air, avec lesquels Spyland compte bien établir des partenariats de dynamisation et d'échanges sur des séjours d'une semaine.

Qui se cachent derrière Spyland ?

Initié en 1996 par un agent des services spéciaux français, aujourd’hui en retraite et séjournant entre la France, les USA et des pays tiers, le projet Spyland a tout d’abord été un concept de musée qui s’est orienté au cours de l’année 2000 en parc de loisirs. De fil en aiguille, c'est la société TGM S.A. qui s'est constituée "porteur du projet". Elle se positionne comme chef de file d'une équipe multidisciplinaire qui s'est engagée dès le début de l'année 2001 dans le développement du concept et de l'esquisse du projet.

La TGM S.A. (Travaux Géotechniques et Miniers) est une société lyonnaise qui a développé depuis 1991 une expérience de la promotion de projets touristiques et industriels dans différentes régions du monde, pour des projets miniers en Afrique, de funiculaire souterrain à New-York, et de station de ski au Liban entre autres. TGM rassemble des équipes de spécialistes qui ont acquis une grande expérience dans les montages de projets.

Sous la tutelle de TGM S.A., Loftus Multimédia, est quant à elle, une société spécialisée dans le développement d'activités multimédia et ludiques. Elle a travaillé à la modélisation de plusieurs attractions et à la scénographie générale du parc. Le "masterplanning" du parc a été réalisé à l'aide d'un logiciel de rendu 3D temps réel, issu d'une technologie militaire. "Il s'agit d'une grande première en Europe. La réalisation de maquettes pour le parc, comme au bon vieux temps, reste une option, mais la 3D immersive est quand même plus impressionnante." nous confie Yann T., responsable du masterplanning. Loftus Multimédia est la seule société dans le monde à concevoir des rendus 3D avec ces outils de développement.

Ci-contre, les premiers rendus 3D de Spyland développés par la société Loftus Multimedia.

Le Cabinet Censelme, entreprise jurassienne ayant plus de 35 années d'expérience dans la conception de projets immobiliers est en charge d'apporter le savoir faire ERP (Etablissements Recevant du Public) nécessaire aux études d'implantation du projet. Auparavant, il a développé un concept d'hôtellerie insulaire à partir de barges pétrolières, des bases nautiques, et des salles de spectacles...

La société Ibis est une société européenne spécialisée dans le développement d'activiés multimédia et ludiques, elle a travaillé à la modélisation de plusieurs attractions et à la scénographie générale du parc.

La société Transmontagne S.A. validera les concepts de gestion de flux. Société gestionnaire de parcs (Cap Découverte) et de stations de ski (Pra-Loup, le Lorian...), elle a acquis un savoir-faire dans la maîtrise des flux de vacanciers-skieurs. "Après tout, les remontées mécaniques ont un fonctionnement quasi-similaire à des attractions dans un parc : il faut dans les deux cas savoir gérer l'attente." nous rappelle Didier Rancher, chargé de projet. Transmontagne S.A. pourrait également devenir l'opérateur de Spyland dès son ouverture.

D'autres sociétés viennent se greffer à cet ensemble pluridisciplinaire : JMSA, spécialisée dans la formation d'animateurs et d'opérateurs de parcs de loisirs, la société toulonnaise L'Echapée Bleue chargée de la commercialisation du produit Spyland, et une pleïade d'industriels.

 

Un projet ancré à la région et à son environnement.

Un parc d'attraction draine des visiteurs qui amènent des nuisances sonores, visuelles... bref, une invasion qui va changer l'ambiance idyllique d'un petit hameau. Telle est l'équation que certains villageois mécontents, et autres représentants du monde agricole tentent de démontrer. Pourtant, Spyland sera très loin de ce genre de description apocalyptique. Pour preuve, les porteurs du projet pensent avant toute chose à l'intégration du parc dans ses environnements naturel, économique, et social.


Les agents secrets se mettent au vert.

Sur le terrain agricole envisagé, les arbres sont rares, et comme tout parc qui se respecte, Spyland proposera une mosaïque de végétation : il est prévu de planter plusieurs milliers d'arbres dont quelques uns indigènes et exotiques. Le parc devra être vu comme un écrin de verdure par les visiteurs. Les zones thématiques du parc seront vallonnées et arborées pour encaisser et contenir le bruit de fond et dissimuler le contenu visuel de l'extérieur du parc. Seuls les accès, l'hôtel, le centre culturel et certaines annexes visibles de l'extérieur donneront un cachet provençal en harmonie avec le site d'accueil.

Par l'application de la norme "HQE" (Haute Qualité Environnementale) Spyland s'engage à respecter l'environnement sur plusieurs points : le parc demandera la mise en terre de la ligne EDF qui longe le parc au Sud et masquera par une végétation de qualité, la sous station EDF à l'est. La qualité de l'eau naturelle de la Durance devra être préservée et il est prévu de construire une station d'épuration tertiaire pour les eaux usées du parc (ou une extension sur les structures communales existantes.)

Toujours dans un souci de préservation de l'environnement, le parc n'a pas prévu d'extension massive dans la vallée, puisqu'il dispose déjà de sa réserve foncière de 40 hectares au Sud. Il est ainsi dans la norme, en surface des parcs comparables avec ses 100 ha au total ( à titre de comparaison, le Parc Astérix vit sur 70 ha).


100 hectares à aménager et à ménager, dans un environnement exceptionnel.

 


Des agents et des hommes.

Pour faire tourner toute la belle mécanique que constitue un parc d'attractions, il faut du monde ! Et le projet Spyland va induire environ 2600 emplois au total dans près de 100 métiers différents : des animateurs qui encadreront les visiteurs, en passant par les créateurs de nouvelles animations jusqu'aux costumières... Dans les 600 emplois directs créent par le parc, 400 ne nécessiteront pas de qualification spécifique, mais une formation d'animateur et d'opérateur sera dispensée par une société spécialisée.

Il y aura des emplois dans le parc bien sûr, mais aussi hors du parc : on évalue à 1000 les emplois induits. Des réouvertures de petits commerces dans les communes alentours, des dynamisations d'entreprises locales, partenaires du parc, devraient être le fruit d'un rayonnement économique important de Spyland. A l'extérieur le parc s'appuiera sur des transporteurs, taxis, entreprises diverses et sur son tissu de restaurants, tabacs, petits magasins de l'environnement du pays d'Aix. Il faut savoir également que les visiteurs dépensent en moyenne 50 € dans les villages de proximité en plein d'essence, nuit dans un gîte rural, achat de cartes postales, restaurants... Spyland souhaite dynamiser en synergie tous les autres centres d'intérêt locaux, les musées d'arts et traditions populaires, les activités de plein air, les chambres d'hôtes, les activités sportives... pour allonger le séjour moyen de 4 à 6 nuitées.

Quant au monde agricole, une partie s'est élevée contre le projet, principalement, les agriculteurs locaux qui défendent leurs terres, mais aussi leur région. Lors d'une réunion de présentation aux élus locaux le 19 décembre 2002, un des responsables agricoles affirmait : "Ici, nous n'avons pas de friche, mais une excellente terre, une des meilleures zones agricoles. Je doute du thème des agents secrets, mais si cela peut rapporter des emplois... ailleurs que sur ce terrain, vers des zones boisées. L'image de la Provence rime aussi avec "bien-être" et si elle se dégrade, on risque de détourner le tourisme."

Spyland entreprend de travailler avec "ses voisins" car le besoin du parc en emplois saisonniers correspond à certains cycles de la vie agricole. Europa-Park, temple du loisir avec quelques 75 hectares et 3.500 000 visiteurs par an, se situe dans une zone agricole en Allemagne, semblable à celle de Meyrargues. Le parc a fourni du travail aux agriculteurs en achetant une partie de leur production et des produits du terroir comme des vins, viandes séchées, et autres productions locales pour les servir aux tables des restaurants, ou les offrir aux visiteurs dans les boutiques du parc. De plus, un véritable catalogue d'activités va être proposé par Spyland aux agriculteurs et à leur famille : création de gîtes ruraux soutenue par le parc, création d'artisanat à la ferme, locations de Mobil-Home... Pour la première fois, un parc de loisirs va contractualiser les accords qui seront passés avec les agriculteurs.

 

Spyland en chiffres.
(Chiffres non réactualisés depuis le changement de site)

Investissements totaux 124 Millions d'Euros. (77 M € en immobilier, 21 M € en animations, 26 M € en ingénierie et divers)
Chiffre d'affaires après 5 années 45 Millions d'Euros par an.

CDI 150 (parc seulement)
CDD 40 à 469
Total 190 à 669
Implantation musée et attractions 39 ha. en 2007
Surface des Parkings Environ 11 ha
Extension et réserve Environ 10 ha (+ 40 ha de réserve au Sud du terrain)
Surface bâtie au sol Environ 15 000 m²
Nombre d'animations interactives 25


L'agent fera-t-il le bonheur ?

Même si tout porte à croire que tout va pour le mieux dans le monde des agents secrets, comme bon nombre de parcs défunts, Spyland peut être confronté à certains problèmes d'ordre économique, social, financier... et la liste est non exhaustive. Les porteurs du projet ne sont pas restés aveugles face à ce risque.

L'infrastructure du parc même est conçue de façon à pouvoir être transformée et à surprendre le public à chacune de ses visite. Cette particularité rend donc Spyland complétement modulable et réversible en cas d'échec du concept dans les 5 années suivant son lancement.

Le musée et les remparts pourraient être convertis en zone d'artisanat et magasins, grâce à leur conception en alvéoles. (voir première partie du dossier). Le centre de documentation pourrait servir à d'autres projets culturels. Les salles de congrés, séminaires et hôtels font cruellement défaut dans la région, donc aucune reconversion n'est envisageable face à leur utilité. Les bâtiments techniques et administratifs pourraient servir à de petites entreprises ou des sociétés de services. Les zones arborées serviraient de parc de ballade en famille, et les plans d'eau artificiels auraient le même succès que celui existant et surpeuplé de Peyrolles (à quelques kilomètres de là).

Les risques encourus par les communautés locales sont donc peu importants au vu du développement économique considérable qui leur est proposé.

Mais levons les yeux vers un avenir optimiste, en l'occurence l'avenir de Spyland International, qui émane de la Spyland S.A. Lors de la réunion du 19 décembre 2002, Patrick de Saint Simon, ingénieur et chef de projet, rappelait que "l' objectif de Spyland international est de dupliquer la maquette du projet aux USA, au Japon, ou ailleurs après l'ouverture de Spyland France, projet unique au monde à plusieurs titres..."

 

Notre avis pour conclure.

Commençons par le point le plus mitigé au sein de la rédaction : le système de cartes à puce. Aux yeux des visiteurs, il pourrait s'agir d'un mode de paiement pour chaque attraction (le pay-per-ride) qui pourrait rappeller sans conteste un système de paiement de type forain. Ce genre de billetterie est souvent appliqué dans des parcs d'attractions proches de grandes villes, voir même intégrés dans la ville, ce qui a pour conséquence d'attirer des visiteurs (habitués) d'un bassin de population immédiat. Mais Spyland se situera en rase campagne, et selon nous, ne profitera que faiblement d'une population "immédiate" qui accéderait au parc juste pour quelques heures pour "dépenser quelques points" de sa carte.
De plus, ce système de billetterie est innovant et pourrait poser quelques problèmes logistiques. A titre de comparaison, le système de billetterie de type Fast Pass à Disneyland Resort Paris, permettant aux visiteurs d'accéder plus rapidement aux attractions, rencontre chaque jour des problèmes d'ordre technique, voire même social, lorsque des visiteurs munis de Fast Pass doublent légitimement ceux qui n'en ont pas. Il faudra donc également franchir la barrière de la langue pour expliquer le fonctionnement (casse-tête ?) de ce type de billetterie. La somme transférée sur la carte pour régler ses achats au sein du parc peut également constituer un frein économique (sans se faire l'avocat du diable, n'est-on jamais tenté de dépenser toujours plus dans un parc ?)

Cessons ce long discours sur un système de billetterie qui n'a pas encore vu le jour et qui représente tout de même plus d'avantages que d'inconvénients (télédétection, carte de club, réductions...) . Ce sera une grande première, qui trouvera de nombreuses applications ailleurs qu'à Spyland, nous en sommes sûrs.

Soulignons également cette grande volonté d'intégration du parc au paysage économique et social de la part du porteur de projet : pour la première fois, on assiste à une véritable concertation entre collectivités locales et projet de grand parc à thèmes. Spyland ne jouera pas seul aux agents, il entraînera avec lui toute une commune, toute une région pour atteindre un rayonnement international ...

 

Spyland a reçu le prix du "Meilleur projet français" lors de la cérémonie des ParkOtheK-Parksmania Awards 2003, pour la qualité et l'originalité du concept.

 

Ainsi se termine notre premier dossier de présentation générale consacré à Spyland. L'Europe s'intéresse à Spyland : ce dossier est partiellement traduit par notre confrère italien www.parksmania.it

La ParkOtheK suit de près le projet, et ne manquera pas de vous tenir au courant des avancées du parc !

Simon Bourlet

Remerciements à toute l'équipe du projet pour sa disponibilité, et sa collaboration à la réalisation de ce dossier.
Certaines illustrations sous tous droits réservés Spyland S.A / Loftus Multimédia et ont été reproduites avec autorisation.

ParkOtheK - Rubrique Projet - Juin 2003 - Contact : Simon Bourlet